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Sophie COMTET KOUYATÉ Le Grand Village

« Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage »

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Biographies

SOPHIE COMTET KOUYATÉ / Réalisatrice . Photographe

Auteur de ses propres réalisations et photographe, après avoir réalisé le film de fiction « Les bruits de la ville », (Voir presse ci-jointe), Sophie Comtet Kouyaté a réalisé plusieurs films documentaires en France, en Afrique et au Japon diffusés à la télévision (Public Sénat, la Chaine Parlementaire, TV5 Monde, France 3…), et dans les festivals.

Elle est à l’origine des montages de films d’artistes, Philippe Durand, Estelle Fredet, Valérie Jouve, et de films documentaires de Samia Chala, Thierry Leclère…

Elle est aussi réalisatrice de tous les clips du musicien Pédro Kouyaté (électro-blues) et, suite à la réalisation du film « Foly » sur la musique à Bamako présenté en tournée partout en France en première partie de concerts, du fameux clip « Mali Sadio » de Toumani Diabaté.

De plus en plus concernée par la photographie « des corps dans la ville » et par l’organisation de la ville, sa mémoire, elle conjugue cinéma et photographie dans ses films « Shukugawa River » (2016 Japon), « Crimée enchantée » (2018 dif-fusion : Nuit des Musées MAC VAL, École d’architecture Paris, ArchFilmLund Suède, Art-Film Californie, Arq-Festi Santiago du Chili et de nombreux autres festivals en Europe et en Asie.

Après une longue immersion dans un quartier de Saint-Denis pour la réalisation de « Sur la terre de Saint- Rémy » (France 3 national) elle crée en 2018 le projet filmique et photographique « Canal Saint-Denis, la bascule d’un paysage », série de 4 films documentaires (acte 1 réalisé en 2019) et 400 photographies sur la mutation des territoires riverains du canal Saint-Denis jusqu’en 2024.

En parallèle, par la pratique du portrait photographique jouant entre fiction contemporaine et hyper-classi- cisme, elle a invité en 2021 les habitants de Saint-Denis à s’approprier les codes royaux de leur ville tout en exhibant et portant leurs propres objets ou vêtements fétiches et « génériques ». Une exposition qui sera présentée au Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Denis au printemps 2022, puis à l’Hôtel Particulier Montmartre à Paris.

Aujourd’hui, elle se consacre pleinement au projet « Canal Saint-Denis d’un paysage » pour la réalisation du film acte 2 « Émergence de la parole » et à la préparation d’une exposition des 150 premières photogra- phies du projet.

Bio complète sur : www.sophiecomtetkouyate.com

MARIE-ASTRID ADAM

Elle est formée à l’INSAS (Institut National Supérieur des Arts et du Spectacle) de Bruxelles puis suit les cours de la Kleine Académie, en interprétation dramatique. Intéressée par les différentes formes d’écritures et par leurs transpositions scéniques pour la danse, le théâtre ou la musique, elle écrit des performances et textes qu’elle interprète : Dis-moi que tu m’aimes, Tube à essais, la Meute, Si Ubuntu m’était conté puis des recueils : Vampire d’univers, La Terre est quelquefois inabordable, Ballade du Caillou qui Bique, et autres balades.

Elle adapte pour le théâtre : Un quart d’heure pour une tragédie (d’après les personnages féminins de Racine), Le Mariage forcé, et L’amour peintre de Molière, Alice au pays des merveilles, De l’autre côté du miroir, de Lewis Carroll, et Un jeune homme trop gros d’Eugène Savitskaya.

Elle réalise le travail de composition ou de mise en scène de spectacles pour des compagnies de danse baroque et contemporaine et des ensembles musicaux et vocaux et se forme également à la création de masques pour le Cie Éclat des muses puis pour le Cie des Corps Éloquents.

Elle confectionne les marionnettes pour les tréteaux de maître Pierre, opéra d’Emmanuel De Falla qu’elle met en scène à l’orchestre Philarmonique de Monte Carlo.

Plus tard, elle participe aux comités de lectures de textes contemporains à la comédie de Saint-Étienne avec l’écrivain Gilles Granouillet, aux « Lundis en coulisse » à Lyon créés par Ghislaine Drahy, puis aux « Lundis en coulisse » de Sylvia Berutti au Rideau de Bruxelles alors dirigé par Mickael Delaunois.

Elle accompagne l’écriture et les mises en scène de « La flûte d’Arlequin » d’Hubert Hazebroucq, chorégraphe des Corps Éloquents, et « Émilie du Châtelet » du metteur en scène Christian Baggen.